Développement du Web3 Découvrez les secteurs qui bénéficieront le plus du développement du Web3 : DeFi, NFT, gaming, identité numérique, réseaux sociaux décentralisés, supply chain, DAO, métavers, IoT. Contrôle accru des utilisateurs sur leurs données et actifs numériques. Introduction Le développement du Web3 offre de nombreuses opportunités pour divers secteurs clés tels que la finance décentralisée, les créateurs de contenu, le gaming, l'identité numérique, la gestion des données, les réseaux sociaux décentralisés, la supply chain, les organisations décentralisées, le métavers et l'Internet des objets. Ces secteurs pourront bénéficier de la décentralisation, de la désintermédiation et du contrôle accru des utilisateurs sur leurs données et actifs numériques. Les secteurs clés bénéficiant du développement du Web3 Le Web3 est en train de révolutionner de nombreux secteurs clés de l'économie en offrant des solutions décentralisées et transparentes. Les secteurs de la finance, de la santé, de l'éducation, de l'art et de la culture bénéficient particulièrement de cette innovation. Grâce à la technologie blockchain et aux smart contracts, ces secteurs peuvent désormais fonctionner de manière autonome, sans intermédiaires, et garantir la sécurité et l'intégrité des transactions. Le Web3 ouvre de nouvelles perspectives et opportunités pour ces secteurs en favorisant l'émergence de modèles économiques plus équitables et durables. La finance décentralisée et le Web3 La finance décentralisée, ou DeFi, est l'un des secteurs les plus dynamiques du Web3. En utilisant des protocoles décentralisés et des tokens numériques, la DeFi permet à chacun d'accéder à des services financiers traditionnellement réservés aux institutions. Les plateformes DeFi offrent des solutions d'épargne, de prêt, d'échange et de gestion de portefeuille, sans avoir besoin de passer par des intermédiaires. Ce secteur en pleine expansion offre de nouvelles possibilités d'investissement et de diversification des actifs, tout en garantissant la transparence et la sécurité des transactions. Le rôle des créateurs de contenu dans l'écosystème Web3 Les créateurs de contenu jouent un rôle essentiel dans l'écosystème Web3 en contribuant à la création et à la diffusion de contenus originaux et de qualité. Grâce aux plateformes décentralisées, les créateurs peuvent être rémunérés directement par leur public, sans passer par des intermédiaires. Les NFTs (jetons non fongibles) permettent également aux créateurs de valoriser leur travail et de le protéger contre la contrefaçon. Le Web3 offre ainsi de nouvelles opportunités aux créateurs de contenu pour monétiser leur talent et leur créativité de manière plus juste et transparente. L'importance du gaming dans le Web3 Le gaming occupe une place prépondérante dans l'écosystème Web3 en raison de son potentiel d'innovation et d'adoption massive. Les jeux basés sur la blockchain permettent aux joueurs de posséder et de gérer leurs actifs numériques en toute sécurité, tout en offrant des mécanismes de récompense et d'incitation grâce aux tokens et aux NFTs. Les jeux décentralisés favorisent l'interaction entre les joueurs et la création de communautés dynamiques et engagées. Le gaming dans le Web3 ouvre de nouvelles perspectives pour l'industrie du jeu vidéo en offrant des expériences plus immersives, collaboratives et lucratives pour les joueurs et les développeurs. La gestion de l'identité numérique dans le Web3 La gestion de l'identité numérique est un enjeu majeur dans le Web3, où la confidentialité et la sécurité des données personnelles sont au cœur des préoccupations. Les solutions d'identité décentralisée permettent aux individus de contrôler et de partager leurs informations de manière sécurisée, sans avoir à les confier à des tiers de confiance. Les protocoles d'identité auto-souveraine garantissent l'authenticité et l'intégrité des données, tout en respectant la vie privée des utilisateurs. La gestion de l'identité numérique dans le Web3 offre ainsi une alternative plus transparente et respectueuse de la vie privée par rapport aux modèles traditionnels de gestion des données. Les avantages de la gestion des données décentralisée dans le Web3 La gestion des données décentralisée présente de nombreux avantages dans le contexte du Web3 en termes de sécurité, de transparence et de contrôle des informations. En utilisant des réseaux peer-to-peer et des protocoles de stockage décentralisé, les données sont réparties sur plusieurs nœuds et chiffrées pour garantir leur confidentialité. Les utilisateurs ont la possibilité de contrôler l'accès à leurs données et de les partager de manière sélective, tout en bénéficiant d'une traçabilité et d'une immuabilité accrues. La gestion des données décentralisée offre ainsi une alternative plus sûre et résiliente aux modèles centralisés de stockage et de traitement des données. Les principaux réseaux sociaux décentralisés du Web3 Les réseaux sociaux décentralisés sont des plateformes alternatives aux réseaux sociaux traditionnels, offrant une gestion plus transparente et démocratique des contenus et des interactions. Ces plateformes reposent sur des protocoles décentralisés et des mécanismes d'incitation pour récompenser les utilisateurs contribuant à la qualité et à la diversité des contenus. Les réseaux sociaux décentralisés favorisent la liberté d'expression, la protection de la vie privée et la lutte contre la censure, tout en offrant une expérience utilisateur plus personnalisée et authentique. Ces plateformes émergentes sont appelées à jouer un rôle de plus en plus important dans le paysage numérique en offrant des alternatives éthiques et responsables aux géants du web centralisé. La supply chain et le Web3 La gestion de la supply chain est un domaine clé bénéficiant des technologies du Web3 pour garantir la traçabilité et la transparence des flux de marchandises et d'informations. Les solutions basées sur la blockchain permettent de suivre en temps réel le parcours des produits depuis leur origine jusqu'à leur destination, en assurant l'authenticité et la qualité des produits. Les contrats intelligents facilitent la gestion des contrats et des paiements entre les différents acteurs de la chaîne d'approvisionnement, tout en réduisant les risques de fraude et de contrefaçon. La supply chain dans le Web3 offre ainsi des avantages significatifs en termes d'efficacité, de sécurité et de durabilité pour les entreprises et les consommateurs. Le fonctionnement des organisations décentralisées dans le Web3 Les organisations décentralisées, ou DAO (Decentralized Autonomous Organizations), sont des entités autonomes et auto-gouvernées fonctionnant sur la blockchain. Les DAO permettent à leurs membres de prendre des décisions collectives de manière transparente et démocratique, en utilisant des mécanismes de vote et de gouvernance décentralisée. Les DAO offrent ainsi une alternative aux structures organisationnelles traditionnelles en favorisant la participation et la collaboration des membres sans hiérarchie centralisée. Ces nouvelles formes d'organisation dans le Web3 ouvrent de nouvelles perspectives pour la gouvernance, la gestion des ressources et la coopération entre individus et communautés. Le métavers et son lien avec le Web3 Le métavers est un univers virtuel en 3D où les utilisateurs peuvent interagir, créer et échanger des biens et des services numériques. Dans le contexte du Web3, le métavers prend une dimension encore plus immersive et décentralisée en offrant des expériences numériques plus authentiques et collaboratives. Les utilisateurs peuvent posséder et monétiser des actifs virtuels grâce aux NFTs et aux tokens, tout en participant à des activités sociales, culturelles et économiques au sein d'un environnement virtuel partagé. Le métavers dans le Web3 ouvre de nouvelles perspectives pour la socialisation, le divertissement et le commerce en ligne en offrant des expériences numériques plus riches et interactives pour les utilisateurs. Le rôle de l'IoT dans le développement du Web3 L'Internet des objets (IoT) joue un rôle crucial dans le développement du Web3 en connectant les objets physiques à l'univers numérique de manière sécurisée et décentralisée. Les dispositifs IoT peuvent interagir entre eux et avec les utilisateurs grâce à des protocoles de communication et des contrats intelligents basés sur la blockchain. L'IoT dans le Web3 offre des avantages en termes d'automatisation, de suivi en temps réel et de gestion intelligente des ressources, tout en garantissant la confidentialité et l'intégrité des données échangées. Cette convergence entre l'IoT et Conclusion: En conclusion, le développement du Web3 offre des opportunités innovantes et disruptives dans des secteurs clés tels que la finance décentralisée, les créateurs de contenu, le gaming, l'identité numérique, la gestion des données, les réseaux sociaux décentralisés, la supply chain, les organisations décentralisées, le métavers et l'IoT. Ces domaines bénéficient de solutions décentralisées et transparentes qui favorisent l'autonomie, la sécurité et l'équité des transactions, ouvrant ainsi de nouvelles perspectives pour une économie numérique plus inclusive et durable. Summary Les secteurs clés bénéficiant du développement du Web3 : finance décentralisée, créateurs de contenu, gaming, identité numérique, gestion des données, réseaux sociaux décentralisés, supply chain, organisations décentralisées, métavers, IoT. Le Web3 offre de nouvelles opportunités et défis dans ces domaines essentiels de l'économie numérique.
Découvrez tout sur l'écosystème web3 et la décentralisation dans ce cours passionnant ! Apprenez-en plus sur la blockchain, DeFi, smart contracts, la DAO Universalis et les RWA avec Web3 Academy. Introduction: Bienvenue dans l'écosystème web3 et la décentralisation ! Qu'est-ce que l'écosystème web3 ? Introduction à l'écosystème web3 L'écosystème web3 fait référence à un ensemble de technologies et de principes qui visent à créer un Internet décentralisé et basé sur la blockchain. Contrairement au web traditionnel, où les données sont stockées sur des serveurs centralisés contrôlés par des entités tierces, le web3 repose sur des réseaux peer-to-peer et des protocoles décentralisés. Cela permet aux utilisateurs de garder le contrôle de leurs données et de leurs transactions, tout en favorisant une plus grande transparence et sécurité. Composants clés de l'écosystème web3 L'écosystème web3 comprend divers éléments, tels que les blockchains publiques et privées, les contrats intelligents, les tokens non fongibles (NFTs), les applications décentralisées (dApps) et les organisations autonomes décentralisées (DAO). Ces composants travaillent ensemble pour créer un environnement numérique où la confiance est établie grâce à la technologie plutôt qu'à des tiers de confiance traditionnels. Avantages de l'écosystème web3 L'un des principaux avantages de l'écosystème web3 est sa résilience face à la censure et aux pannes. Étant donné que les données sont distribuées sur plusieurs nœuds du réseau, il est difficile pour une seule entité de les manipuler ou de les supprimer. De plus, la décentralisation favorise l'innovation en permettant à un plus grand nombre d'acteurs d'accéder aux ressources numériques et de contribuer au développement d'applications novatrices. Principe de subsidiarité La décentralisation repose sur le principe de subsidiarité, qui signifie que les décisions doivent être prises au niveau le plus proche possible des citoyens concernés. Cela permet une meilleure adaptation des politiques publiques aux besoins spécifiques de chaque territoire ou communauté. En pratique, cela se traduit par une répartition des compétences entre l'État central et les collectivités locales, ces dernières étant chargées de gérer les affaires qui les concernent directement. Exemple: Les municipalités sont responsables de la gestion des écoles et des équipements sportifs dans leur commune. Les régions ont compétence en matière d'aménagement du territoire et de développement économique. Principe de libre administration Un autre principe clé de la décentralisation est celui de la libre administration des collectivités territoriales. Cela signifie que celles-ci disposent d'une certaine autonomie dans la gestion de leurs affaires, notamment en ce qui concerne leur budget et leur organisation interne. Cette autonomie est garantie par la Constitution et permet aux collectivités locales de prendre des décisions en toute indépendance, dans le respect du cadre légal établi par l'État. Exemple: Une commune peut décider d'investir dans un projet culturel sans avoir à demander l'autorisation préalable de l'État. Une région peut élaborer son propre plan d'action pour favoriser le développement durable sur son territoire. Technologie sous-jacente Une des principales différences entre le web3 et le web traditionnel réside dans la technologie sous-jacente utilisée. Le web traditionnel repose principalement sur des serveurs centralisés contrôlés par des entreprises ou des organisations, ce qui peut entraîner des problèmes de censure et de confidentialité. En revanche, le web3 utilise la technologie de la blockchain pour créer un réseau décentralisé où les utilisateurs ont un plus grand contrôle sur leurs données et leur identité en ligne. Avantages du réseau décentralisé Grâce à sa nature décentralisée, le web3 offre plusieurs avantages par rapport au web traditionnel. Par exemple, les transactions effectuées sur le web3 sont généralement plus sécurisées car elles sont vérifiées par un grand nombre de participants au réseau. De plus, la décentralisation permet également une plus grande résilience aux pannes et aux attaques malveillantes, car il n'y a pas de point unique de défaillance. Inconvénients potentiels du web3 Cependant, malgré ses nombreux avantages, le web3 présente également certains inconvénients potentiels par rapport au web traditionnel. Par exemple, en raison de sa complexité technique et de sa relative nouveauté, le web3 peut être moins convivial pour les utilisateurs non techniques. De plus, étant donné que le web3 repose sur la blockchain, il peut être confronté à des problèmes d'évolutivité et de coûts énergétiques élevés liés à la validation des transactions. Augmentation de la résilience La décentralisation dans l'écosystème web3 permet une augmentation de la résilience du réseau. En distribuant les données et les processus sur un grand nombre de nœuds, le système devient plus robuste face aux pannes et aux attaques. En cas de défaillance d'un nœud, les autres peuvent continuer à fonctionner normalement, assurant ainsi la disponibilité des services pour les utilisateurs. Exemple: Un exemple concret de l'augmentation de la résilience grâce à la décentralisation est le réseau blockchain. Chaque bloc contient des transactions validées par plusieurs nœuds du réseau, ce qui rend extrêmement difficile la modification des données après qu'elles aient été ajoutées à la chaîne. Ainsi, même en cas d'attaque visant un seul nœud, les autres participants peuvent continuer à valider les transactions et maintenir l'intégrité du réseau. Protection contre la censure La décentralisation offre également une protection contre la censure en empêchant toute entité centralisée de contrôler ou de limiter l'accès aux informations ou aux services. Dans un environnement décentralisé, chaque utilisateur a un accès égal aux ressources du réseau et peut interagir librement sans craindre d'être restreint par des tiers. Exemple: Un exemple notable de protection contre la censure est fourni par les réseaux peer-to-peer (P2P) qui permettent aux utilisateurs d'échanger des fichiers directement entre eux, sans passer par un serveur centralisé. Ce modèle décentralisé rend difficile pour les autorités de bloquer ou de surveiller ces échanges, offrant ainsi une plus grande liberté d'expression et d'échange d'informations. Facilitation des transactions décentralisées Les cryptomonnaies jouent un rôle essentiel dans le web3 en facilitant les transactions décentralisées. Grâce à la technologie de la blockchain, les utilisateurs peuvent effectuer des paiements sans passer par des intermédiaires tels que les banques ou les institutions financières. Cela permet une plus grande autonomie et sécurité lors des échanges de biens et services sur internet. Avantages: - Réduction des frais de transaction - Rapidité des transferts d'argent - Confidentialité accrue Tokenisation des actifs numériques Une autre fonction importante des cryptomonnaies dans le web3 est la tokenisation des actifs numériques. Cette pratique consiste à représenter physiquement un actif réel sous forme de jeton numérique sur la blockchain. Cela permet une plus grande liquidité et facilité d'échange pour divers actifs tels que l'immobilier, l'art, ou même les droits d'auteur. Exemples d'actifs tokenisés: - Œuvres d'art digitales - Parts de propriété immobilière - Contrats intelligents pour la gestion des droits d'auteur Qu'est-ce qu'un contrat intelligent? Un contrat intelligent est un protocole informatique auto-exécutable qui facilite, vérifie ou met en œuvre la négociation ou l'exécution d'un contrat, permettant ainsi des transactions sécurisées et transparentes sans nécessiter l'intervention d'une tierce partie. Ces contrats sont généralement basés sur la technologie blockchain et utilisent des codes informatiques pour automatiser et garantir l'exécution des termes convenus. Fonctionnement des contrats intelligents Les contrats intelligents fonctionnent en suivant un ensemble de règles prédéfinies et en s'exécutant automatiquement une fois que les conditions spécifiées sont remplies. Ils sont stockés sur une blockchain publique ou privée, ce qui garantit leur immuabilité et leur sécurité. Les transactions effectuées via des contrats intelligents sont traçables, transparentes et irréversibles, éliminant ainsi le besoin de confiance entre les parties prenantes. Les contrats intelligents peuvent être utilisés dans divers domaines tels que les finances décentralisées (DeFi), la gouvernance autonome, les jeux en ligne, l'assurance, etc. Ils offrent une alternative efficace aux systèmes traditionnels en réduisant les coûts, en accélérant les processus et en éliminant les intermédiaires. Cependant, leur adoption généralisée est encore entravée par des problèmes de sécurité, de réglementation et de complexité technique. 1. Finance décentralisée (DeFi) Prêts et emprunts La technologie blockchain a révolutionné le secteur financier en permettant la création de plateformes de prêts et d'emprunts décentralisées. Les utilisateurs peuvent désormais emprunter ou prêter des fonds sans passer par des intermédiaires traditionnels tels que les banques. Ces plateformes utilisent des contrats intelligents pour automatiser les processus de prêt, garantissant ainsi la transparence et l'efficacité. Échanges décentralisés (DEX) Peer to peer Les échanges décentralisés sont des plateformes qui permettent aux utilisateurs d'échanger des actifs numériques directement entre eux, sans avoir à faire confiance à un tiers pour faciliter la transaction. Grâce à la technologie blockchain, ces échanges sont sécurisés, transparents et résistants à la censure. Les DEX offrent une alternative aux bourses centralisées traditionnelles, offrant aux utilisateurs un plus grand contrôle sur leurs actifs. https://s3.us-west-2.amazonaws.com/images.unsplash.com/small/photo-1676911809746-85d90edbbe4a 2. NFTs et propriété numérique Collections numériques uniques Les jetons non fongibles (NFTs) sont des actifs numériques uniques qui représentent la propriété d'un objet virtuel tel qu'une œuvre d'art, un jeu vidéo ou une musique. La technologie blockchain permet de créer et de vérifier l'authenticité de ces NFTs, offrant ainsi aux créateurs une nouvelle façon de monétiser leurs créations et aux collectionneurs une manière unique de posséder des biens numériques. Mondes virtuels décentralisés Les mondes virtuels décentralisés sont des environnements en ligne où les utilisateurs peuvent interagir, posséder des biens virtuels et même gagner de l'argent grâce à leurs activités en ligne. En utilisant la technologie blockchain, ces mondes offrent une propriété authentique et sécurisée des actifs numériques, ce qui ouvre de nouvelles opportunités pour le commerce en ligne et l'économie numérique. Les défis de la sécurité des données dans le web3 Dans un environnement décentralisé comme le web3, la sécurité des données pose de nouveaux défis. Contrairement aux systèmes centralisés où les données sont stockées sur des serveurs contrôlés par une entité centrale, le web3 repose sur une architecture distribuée où les données sont réparties sur de multiples nœuds. Vulnérabilité aux attaques Cette dispersion des données rend le système plus résilient face aux pannes et à la censure, mais elle le rend également plus vulnérable aux attaques. Les hackers peuvent cibler différents nœuds du réseau pour accéder aux données sensibles ou les altérer. De plus, la nature publique et transparente du web3 peut rendre certaines informations sensibles accessibles à tous, ce qui augmente les risques de violation de la vie privée. Attaques par force brute contre les clés privées Attaques de type Sybil pour compromettre la décentralisation du réseau Risques liés aux smart contracts mal codés ou malveillants Adoption croissante de la technologie blockchain La technologie blockchain est au cœur du web3 et de la décentralisation. Son adoption croissante dans divers secteurs tels que la finance, la santé, l'immobilier et même les gouvernements montre son potentiel révolutionnaire. En utilisant des registres distribués et sécurisés, la blockchain permet des transactions transparentes et immuables, tout en garantissant la sécurité des données. Avantages de la technologie blockchain : Transparence accrue Sécurité renforcée Réduction des coûts de transaction Élimination des intermédiaires Démocratisation de l'accès à l'information et aux services Avec le web3 et la décentralisation, l'accès à l'information et aux services devient plus démocratisé. Les plateformes décentralisées permettent aux individus d'avoir un contrôle total sur leurs données personnelles, tout en facilitant les échanges peer-to-peer sans passer par des tiers de confiance. Cela ouvre de nouvelles opportunités pour une économie plus inclusive et équitable. Impact sur les industries traditionnelles : Réduction des barrières à l'entrée pour les nouveaux acteurs Innovation accrue grâce à la collaboration ouverte Meilleure protection de la vie privée des utilisateurs Possibilité d'inclure les populations non bancarisées dans le système financier mondial Rôles des communautés autonomes Les communautés autonomes jouent un rôle crucial dans l'écosystème web3 en permettant aux membres de prendre des décisions de manière décentralisée. Ces organisations fonctionnent sans leader central et reposent sur des règles programmées dans des contrats intelligents. Les membres peuvent proposer, voter et exécuter des actions au sein de la communauté sans avoir besoin d'intermédiaires. Processus de gouvernance La gouvernance au sein des communautés autonomes repose souvent sur le principe du consensus, où les décisions sont prises en fonction du nombre de votes favorables. Certains projets utilisent également des mécanismes de délégation pour permettre aux membres de confier leur droit de vote à d'autres participants. Cela garantit une représentation équitable des intérêts au sein de la communauté. - Propositions soumises par les membres - Vote pour approuver ou rejeter les propositions - Exécution automatique des décisions validées Avantages et défis Les communautés autonomes offrent plusieurs avantages, tels que la transparence, l'efficacité et la résilience face à la censure. En permettant une participation plus directe et une prise de décision collective, ces structures favorisent l'innovation et l'expérimentation dans l'écosystème web3. Cependant, elles peuvent également rencontrer des défis liés à la sécurité, à la gouvernance et à la coordination entre les membres. - Transparence accrue grâce à la traçabilité des décisions - Réduction des coûts liés aux intermédiaires traditionnels - Risques potentiels liés aux bugs dans les contrats intelligents Manque de compréhension et d'éducation Un des principaux défis à surmonter pour une adoption plus large du web3 et de la décentralisation est le manque de compréhension et d'éducation chez le grand public. Beaucoup de gens ne comprennent pas encore les concepts complexes derrière la technologie blockchain et la décentralisation, ce qui peut les rendre réticents à l'adopter. Solutions potentielles: Organiser des séminaires éducatifs et des ateliers pour expliquer les avantages et le fonctionnement du web3 aux non-initiés. Développer des ressources pédagogiques accessibles en ligne pour aider les gens à mieux comprendre la technologie blockchain. Problèmes de gouvernance et de réglementation Un autre obstacle majeur à une adoption plus large du web3 est le manque de cadre réglementaire clair autour de la technologie. Les gouvernements du monde entier sont encore en train de déterminer comment réglementer les crypto-monnaies, les contrats intelligents et d'autres applications décentralisées, ce qui crée de l'incertitude pour les entreprises et les utilisateurs. Solutions potentielles: Travailler en collaboration avec les régulateurs pour élaborer des politiques qui favorisent l'innovation tout en protégeant les consommateurs. Promouvoir l'autorégulation au sein de l'industrie pour garantir des normes éthiques élevées. Rivalité entre les plateformes décentralisées et les géants du web centralisé Les avantages des plateformes décentralisées Les plateformes décentralisées offrent plusieurs avantages par rapport aux géants du web centralisé. Tout d'abord, elles permettent une plus grande transparence et sécurité des données. En effet, les utilisateurs ont un contrôle total sur leurs informations personnelles et ne sont pas soumis à la collecte de données massive pratiquée par les grandes entreprises technologiques. De plus, les plateformes décentralisées favorisent l'innovation et la diversité en offrant un espace où de nouveaux projets peuvent émerger sans être étouffés par la concurrence des acteurs établis. Exemples de plateformes décentralisées - Blockchain : Cette technologie permet de créer des réseaux sécurisés et transparents où les transactions sont vérifiables par tous les participants. - IPFS (InterPlanetary File System) : Ce système de stockage distribué permet de partager des fichiers de manière décentralisée, sans passer par un serveur central. Les défis pour les plateformes décentralisées Malgré leurs avantages, les plateformes décentralisées doivent faire face à plusieurs défis pour rivaliser avec les géants du web centralisé. Tout d'abord, elles doivent convaincre le grand public de l'importance de la décentralisation et des risques liés à la centralisation des données. De plus, elles doivent relever le défi de l'évolutivité et de la facilité d'utilisation pour attirer un nombre croissant d'utilisateurs. Enfin, elles doivent également faire face à la concurrence féroce des grandes entreprises qui disposent de ressources financières considérables pour investir dans l'innovation et le marketing. Stratégies pour surmonter ces défis - Sensibilisation : Les plateformes décentralisées doivent mener des campagnes de sensibilisation pour expliquer au grand public les avantages de la décentralisation. - Collaboration : Elles peuvent également collaborer avec d'autres acteurs du secteur pour renforcer leur position sur le marché. - Amélioration continue : En investissant dans la recherche et le développement, les plateformes décentralisées peuvent améliorer leurs services et attirer davantage d'utilisateurs. Les DAO dans le web3 Les Organisations Autonomes Décentralisées (DAO) jouent un rôle crucial dans le web3 en permettant la prise de décisions collectives et la gouvernance décentralisée. Contrairement aux structures traditionnelles centralisées, les DAO reposent sur des contrats intelligents et des protocoles blockchain pour automatiser les processus de prise de décision et garantir la transparence. Automatisation des processus Les DAO utilisent des contrats intelligents pour automatiser les processus de gouvernance, tels que l'approbation de propositions et la distribution des fonds. Cela permet une exécution rapide et transparente des décisions prises par la communauté, sans nécessiter d'intermédiaire. - Les contrats intelligents garantissent l'immutabilité des décisions prises par les membres de la DAO. - La transparence est assurée grâce à la traçabilité de toutes les transactions effectuées au sein de la DAO. En résumé, les DAO révolutionnent la façon dont les organisations sont gérées en introduisant un modèle de gouvernance décentralisé et transparent basé sur la technologie blockchain. Introduction aux tokens non fongibles (NFTs) Les tokens non fongibles, ou NFTs, sont des actifs numériques uniques qui représentent la propriété ou la provenance d'un objet numérique spécifique. Contrairement aux cryptomonnaies comme le Bitcoin ou l'Ethereum, qui sont interchangeables et peuvent être divisées en fractions plus petites, les NFTs sont indivisibles et ne peuvent pas être échangés de manière équivalente. Cette caractéristique unique des NFTs leur confère une valeur intrinsèque en tant qu'œuvres d'art numériques, objets de collection ou tout autre actif numérique rare. Exemples d'utilisations des NFTs Les NFTs ont été largement adoptés dans l'industrie de l'art numérique, où ils permettent aux artistes de vendre directement leurs œuvres sans passer par des intermédiaires. De plus, les NFTs sont également utilisés dans les jeux vidéo pour créer des objets virtuels uniques et rares que les joueurs peuvent acheter, échanger ou collectionner. Enfin, les NFTs ont également été utilisés dans le secteur de la musique pour distribuer des droits de propriété intellectuelle sous forme de jetons numériques. Création d'actifs numériques uniques Vente directe entre créateurs et acheteurs Utilisation dans les jeux vidéo et la musique Impact des NFTs sur la diversification du web3 Les NFTs contribuent à la diversification du web3 en offrant de nouvelles possibilités pour la création, l'échange et la possession d'actifs numériques. En permettant aux individus de détenir des actifs uniques et rares sur une blockchain publique, les NFTs favorisent une économie plus diversifiée et décentralisée. De plus, en facilitant la tokenisation d'une grande variété d'actifs numériques, les NFTs encouragent l'innovation et la créativité dans le domaine de la blockchain. Avantages de la diversification du web3 grâce aux NFTs La diversification du web3 grâce aux NFTs présente plusieurs avantages importants. Tout d'abord, elle permet une plus grande inclusivité financière en offrant à chacun la possibilité de participer à l'économie numérique émergente. Ensuite, elle encourage l'innovation en permettant aux créateurs de monétiser leurs œuvres directement auprès de leur public sans passer par des tiers intermédiaires. Enfin, elle renforce la sécurité et l'intégrité des transactions en utilisant une technologie blockchain transparente et immuable. Inclusivité financière accrue Innovation stimulée chez les créateurs Sécurité renforcée des transactions Conclusion: Plongez dans le monde fascinant de l'écosystème web3 et de la décentralisation pour découvrir une nouvelle ère numérique pleine de possibilités et d'innovations. Summary Découvrez l'univers passionnant de l'écosystème web3 et de la décentralisation ! L'article explore les principaux concepts, technologies et applications de la web3, mettant en lumière l'impact de la décentralisation sur la finance, la gouvernance et la sécurité. La web3 academy joue un rôle clé dans la promotion de ces avancées, offrant des opportunités innovantes et révolutionnaires pour l'avenir.
Web3 : comprendre la décentralisation Qu’est-ce que la décentralisation ? Dans le Web3, la décentralisation est une conséquence, plus qu’un point de départ. Une conséquence du fonctionnement de la Blockchain, qui est le cœur du Web3. Ce n’est ni plus ni moins qu’un stockage de l’information en P2P (peer to peer), sécurisé par un chaînage. P2P, c’est quoi ? Vous vous souvenez de la grande époque du téléchargement illégal, en peer to peer, avec des logiciels comme BitTorrent ? C’est le même principe, en plus sécurisé grâce au chaînage. Explication : un fichier est découpé en blocs, répartis entre les différents utilisateurs, qui possèdent une partie de l’information sans en posséder le tout. Leur ordinateur met ce bloc à disposition des autres utilisateurs, et réciproquement. Résultat : les données n’appartiennent à personne, et les transactions ou changements réalisés dans ces données, sont reliées en chaînes. D’où le nom de Blockchain. Mais, si ces données n’appartiennent à personne (et donc à un peu tout le monde), comment sont-elles protégées ? Pourquoi la décentralisation est-elle garante de la sécurité des données ? Justement, la sécurité des données repose sur le caractère décentralisé du Web3. Pour le comprendre, il faut s’intéresser à sa faiblesse, et l’attaque possible dite du Goldfinger, ou des 51%. Une Blockchain, pour exister, doit être validée par des programmeurs appelés mineurs. Ces mineurs forment ensemble des pools, dans lesquels chacun d’entre eux représente un nœud. Autrement dit, un point de passage et de stockage de l’information. Lorsqu’un mineur introduit un code malveillant dans la Blockchain, ce nœud corrompu est corrigé par les autres mineurs, qui rendent son bloc orphelin, et donc inopérant. L’intégrité de la chaîne est donc préservée. Le problème apparaît lorsque 51% de la blockchain est détenue par une seule entité, qui mine donc la majorité des informations de la chaîne. Pourquoi ? Parce qu’une modification peut être apportée d’un coup à plus de la moitié de la chaîne, et rendre ainsi légitime l’ensemble de la Blockchain corrompue. La décentralisation n’existe donc plus, puisqu’un monopole s’est formé dans le contrôle des nœuds, ce qui met en danger l’existence même du Web3. Pourquoi la décentralisation dans le Web3 ? Si la décentralisation a des failles, pourquoi en faire usage dans le Web3, qui est normalement une version améliorée du très centralisé Web2 ? Parce que pouvoir et contrôle sont deux termes que le Web3 entend se réapproprier. Sur le Web3, le pouvoir, c’est celui de l’utilisateur de disposer comme il l’entend de ses données personnelles, mais également de son argent. Le contrôle, c’est la sécurisation des données, par le développement d’un internet indépendant et ouvert. Les exemples de sa nécessité sont nombreux, comme ceux de l’Etat grec et des GAFAM. Le contrôle des capitaux par l’Etat Grec En 2015, le gouvernement grec a montré comment l’on pouvait contrôler la population et son capital. En privant les citoyens du droit de retirer leur argent auprès des banques, il mettait en évidence le contrôle auquel une entité centralisée peut soumettre ses citoyens. Le développement des crypto-monnaies, qui reposent entièrement sur la technologie de la Blockchain, notamment Ethereum, mais également Helium, The Graph, Filecoin ou Livepeer, casse le monopole des banques. Le contrôle change donc de camp. Les GAFAM : collecte et centralisation des données Sur le web, ce sont surtout Google, Apple, Facebook, Amazon et Microsoft (les Gafam) qui centralisent nos données sur leurs serveurs, les contrôlent, et les vendent. Elles sont ainsi accessibles à des gouvernements, mais également à des hackers. Ainsi, en 2019, des données collectées par Microsoft, sur 250 millions d’utilisateurs, ont été publiées sur un forum de hackers. En 2018, ce sont 330 millions d’utilisateurs de Twitter qui ont été affectés par une fuite de données. En 2013, chez Yahoo, ils étaient 3 milliards. Quels sont les avantages de la décentralisation dans le Web3 ? as de collecte ni d’utilisation des données par une autorité, erte d’influence des GAFAM, rande protection de la vie privée, lus pratique que le web 2.0. Comment fonctionne la décentralisation ? A quoi ressemble un site internet ou une application sur le Web3 ? A exactement la même chose que sur le web 2.0. Les langages de programmation du frontend sont les mêmes (HTML, CSS et Javascript), ainsi que ceux du backend (Python, C++, Java, Ruby, etc.), et ont donc le même rendu. Par contre, au lieu de stocker les données du site et des utilisateurs sur un serveur, celles-ci sont stockées via la Blockchain en P2P, et accessibles grâce à des protocoles comme IPFS ou Golem. Qui sont les principaux acteurs du Web3 ? Vous avez compris que les GAFAM, et leur modèle économique basé sur la collecte de données personnelles, sont mis de côté. Mais, qui sont les grands acteurs de cette nouvelle technologie qu’est le Web3 ? Ce sont notamment : ia, ilecoin, PFS, olem, torj, warm. Ces acteurs sont plus des protocoles que des entreprises à proprement parler. Ils combinent les réseaux P2P avec le protocole de la Blockchain. Ils ne sont donc pas possesseurs des informations stockées par les utilisateurs, mais sont responsables de leur cryptage. A titre d’exemple, IPFS (InterPlanetary File System) est un logiciel libre destiné à rechercher le contenu stocké sur des réseaux P2P. Conclusion Vous comprenez maintenant mieux l’importance de la décentralisation pour le Web3. Conçu comme l’antagoniste absolu du web 2.0 que nous connaissons aujourd’hui, le Web3 entend redonner le pouvoir à l’utilisateur. Le captage de ses données par une autorité centralisée devient beaucoup plus complexe et, sans son consentement, tout simplement impossible. La mainmise des banques sur le système bancaire et les frais qu’elles imposent à leurs clients ou, pour parler plus diplomatiquement, leur monopole, est profondément remis en question par ce qu’a rendu possible le Web3 : le minage de crypto-monnaies. C’est donc une nouvelle ère du numérique qui est en train de s’ouvrir sous nos yeux.
La tokenisation : de l'immobilier aux actifs, l’économie repensée Le token est né avec la technologie de la blockchain. Depuis la création de la première blockchain en 2008, par Satoshi Nakamoto, le token est devenu la plus grande révolution financière depuis l’avènement d’internet et de l’ordinateur personnel. Au point que l’on parle aujourd’hui de trois nouveaux concepts : La tokenisation de l’immobilier, La tokenisation des actifs, La tokenisation de l’économie dans son ensemble. Mais, que signifie donc la “tokenisation” et pourquoi est-ce une révolution ? Qu’est-ce que la tokenisation ? La tokenisation est un procédé cryptographique. C’est l’action d’utiliser la blockchain pour créer des token, ou jetons, qui vont contenir des données numériques sécurisées par ce procédé de cryptage. La tokenisation est donc une méthode de sécurisation des données. Pour l’expliquer simplement, un token est constitué de deux choses : Une information sensible, Un code. Ces deux éléments sont parfaitement séparés, rendant impossible la lecture du token par un tiers. Le but de la tokenisation, est de ne rendre possible la lecture et l’utilisation de l’information que par deux systèmes : Le système ayant généré le token, Le système autorisé à détokeniser le token. Autrement dit, si un token est intercepté par un hacker, l’information qu’il contient n’aura absolument aucune valeur, car celle-ci ne pourra être utilisée que dans l’environnement auquel le token est destiné. Quelles sont les caractéristiques de la tokenisation ? Elle remplace une donnée par un code, La génération du code est aléatoire, Le token n’est plus une donnée sensible, L’information contenue dans le token est sans valeur, La tokenisation est irréversible, Le mappage du jeton est stocké dans une base de données cryptée. La tokenisation des actifs La tokenisation fait le lien entre les actifs physiques possédés par une personne, et l’univers digital de la blockchain. Il peut tout autant s’agir de cryptomonnaie que d’actions de sociétés. Ainsi, la tokenisation rend possible la levée de fonds par des entreprises, qui utilisent alors la technique dite de l’ICO (Initial Coin Offering). Elle permet de générer deux types de tokens : Les Security tokens, Les Utility tokens. Cette dichotomie a été réalisée par la SEC (l’autorité des marchés financiers américain), en se basant sur une jurisprudence de la Cour Suprême de 1946, connue sous le nom de Howey test. Les Security tokens Les Security tokens sont des actions de participation, également appelés “equity tokens”. Elles permettent de prétendre à la distribution des dividendes, mais également à un niveau de contrôle sur l’entreprise. Les Security tokens générés dans le cadre d’une levée de fonds constituent donc des actions qui sont la propriété de la personne les ayant achetées. Sa propriété est garantie par les gouvernements, qui s’assurent de la réalité de ce type de transactions. Les Utility tokens Les Utility tokens se comportent comme des coupons, qui permettent d’accéder à des biens ou services proposés par une entreprise ou tout autre acteur. Ces tokens remplacent des paiements en argent. Ils ne permettent donc pas de posséder une partie du capital. Aucun versement de dividendes ne sera réalisé et le détenteur n’aura pas non plus son mot à dire dans les orientations de l’entreprise. La tokenisation de l’immobilier Rappelez-vous ce que nous avons dit : la tokenisation fait le lien entre actifs physiques et univers digital, par le biais de la blockchain. Par conséquent, les biens immobiliers n’échappent pas à la règle de la tokenisation. Un token immobilier permet d’investir de différentes manières, en achetant : Un bien immobilier, Une part d’un bien immobilier, Un droit à bénéficier d’une partie des loyers, Un intérêt à une dette, garantie par un bien immobilier (prêt hypothécaire), Une part du capital social d’un promoteur immobilier. Voici comment un bien immobilier peut se transformer en token, et surtout comment de petits épargnants peuvent investir dans l’immobilier en achetant des tokens accessibles pour seulement 1$. La tokenisation de l’économie La tokenisation de l’économie représente l’ensemble des biens, services, actifs financiers, dettes, qui ont fait l’objet d’une tokenisation. La technologie de la blockchain permet le développement de ce nouveau domaine. La blockchain, de par sa décentralisation, permet de se débarrasser des intermédiaires, et ainsi de ramener l’économie au plus près des agents économiques, que sont notamment les ménages. Nous l’avons vu avec la tokenisation de l’immobilier : la blockchain permet une démocratisation de l’investissement immobilier. C’est exactement la même chose au niveau de l’économie en général. Les gouvernements mettent actuellement en place des cadres juridiques autours des transactions réalisées via des blockchains comme Ethereum. Des standards sont déjà respectés en ce qui concerne la création de chaque token, avec les standards ERC-20 et ERC-720, qui assurent l’échange et le suivi de chaque token sur les réseaux P2P (peer-to-peer). Des marchés se sont créés, permettant l’échange, l’achat et la vente d’actifs sous forme de tokens. Parce que ce qu’offre la tokenisation de l’économie, c’est la possibilité pour tous d’investir dans des entreprises, sans entrave bureaucratique, sans paperasses à renseigner. C’est la garantie pour des communautés locales, de pouvoir soutenir les entreprises qui forment leur bassin d’emploi. Pour les entreprises, c’est la possibilité de lever des fonds rapidement pour faire face à des aléas économiques. Grâce à la tokenisation de l’économie, chacun peut aujourd’hui devenir investisseur, quels que soient ses moyens financiers. Le token ouvre la voie à la participation de tous au marché, et à la possibilité de reprendre le pouvoir en tant qu’acteur économique. La sécurité offerte par la blockchain, en assurant que chaque token est unique, permet d’écarter le risque de la double-dépense, et donc de garantir la valeur de l’économie numérique, adossée à l’économie réelle. Le token et la tokenisation ouvrent également la voie à une économie fictive, déconnectée de toute valeur réelle. La tokenisation et le Decentraland Sans la blockchain et la tokenisation des actifs, la réalité virtuelle n’aurait pas le même potentiel. La tokenisation rend possible l’internet de la valeur. Des communautés virtuelles qui s’agrègent autour du gaming et des réseaux sociaux. Cette tendance aux crypto-communautés permet aujourd’hui l’achat et la vente de parcelles de terrains virtuels, comme sur la plateforme Decentraland, au travers d’une cryptomonnaie baptisée MANA. Le retour sur investissement dépasse tout ce qui peut exister dans le monde réel. Alors qu’en 2017, chaque parcelle de terrain possédait, sur cette plateforme, une valeur de 20$, une vente record a été réalisée en 2021 pour 2 millions de dollars. Sa valeur a donc été multipliée par 100 000 en seulement 4 ans. La valeur s’échange maintenant aussi vite que l’information, rendant possible la construction de véritables empires, qui peuvent se vendre en monnaies bien réelles cette fois.
Le digital nomadisme est une escroquerie Le digital nomad, ou nomade digital en français, est une nouvelle tendance. Né avec les métiers du numérique, le digital nomad serait ce chef d’entreprise, souvent freelancer, parfois télétravailleur, capable d’exercer son activité numérique partout dans le monde. Le digital nomad serait capable de voyager de pays en pays, en remplissant sa vie avec les souvenirs des lieux de rêve où il a vécu. Tout cela grâce à une bonne connexion internet et à un ordinateur tout terrain. Puisque tout le monde en fait l’apologie, on va la faire un peu également, mais il va aussi falloir rappeler quelques réalités, sur une tendance qui relève plus du business que de la vie de rêve. Un digital nomad, c’est quoi ? Le nomade digital est une personne capable de travailler de n’importe où, grâce à sa profession. Il s’agit généralement d’un travailleur du web, un freelancer qui exécute un métier du numérique, ne lui demandant qu’une simple connexion à internet. Il peut également s’agir, plus rarement, d’un employé autorisé par son patron à télétravailler sans ne jamais se présenter au bureau. Leurs outils de travail se résument ainsi au strict minimum : Une connexion internet, Un ordinateur, Une tablette, Un téléphone, L’ensemble des logiciels que leur métier requiert. Le nomade digital est un voyageur C’est l’image de carte postale du nomade digital : le voyage. Vous avez déjà à l’esprit une vie faite d’eaux turquoise, de plages de sable fin et de cocotiers. Une vie dans laquelle vous pouvez appeler chaque lieu étranger, votre bureau. On vous l’a dit, le digital nomad génère 10 000 euros par mois en mode détente, parce qu’il travaille en ligne et que tout est magique. Alors, vous aussi vous rêvez d’une connexion internet à Acapulco le lundi, avant de partir travailler le mardi dans le tout premier espace de coworking de Spiral Muse House à San Francisco. Le nomade digital a une activité qui rime avec liberté. Il peut rester vivre les pieds en éventail au bord d’un lac au Canada, parce qu’il est un entrepreneur à succès. Il parle anglais, n’a plus de bureau, plus de domicile, car le monde est sa maison. Voici la plus belle image d’Epinal qui a été dressée ces dernières années. Le nomade digital est un travailleur Le digital nomadisme, c’est la liberté ! C’est ce que vous avez entendu dire, mais le digital nomad reste avant tout un travailleur. Sans travail, pas d’argent, sans argent… peut-être le prix du billet d’avion pour rentrer à la maison. Alors oui, le nomade digital a mis fin au règne du salariat sur sa vie. Il travaille pour sa personne et non plus pour un patron. Sauf que le digital nomad travaille maintenant pour des clients, et qu’il soit le seul employé de son entreprise, ou à la tête d’une agence du numérique, il ne travaille plus 35 heures non plus. C’est là le souci du nomadisme digital, et de ceux dont l’objectif de vie serait d’intégrer cette nouvelle tendance : ils confondent les gains issus du capital, la rente, et ceux issus du travail, le revenu. Un digital nomad n’est pas un rentier Quel est le point commun entre un Lord anglais, un bourgeois et un digital nomad ? Aucun, les deux premiers vivent de leurs rentes, le dernier d’un revenu qu’il génère en travaillant dur. Si vous deviez choisir entre l’une de ces deux positions, laquelle prendriez-vous ? Probablement celle de la rente, et donc du capital. Pourquoi ? Parce que c’est la réalité qui se rapproche le plus de l’image d’Epinal que vous inspire la vie d’un nomade digital. Digital nomadisme : être partout, ne profiter de rien Quelle que soit l’activité que vous exercez, imaginez que votre travail vous suit absolument partout, tout le temps. Vous êtes attablé dans un bar de Greenwich ? Votre travail aussi prend son verre à côté de vous. Vous faites un trek dans les Alpes, votre travail est dans votre sac, et il se réveille à chaque bornage. Internet ne prend pas de vacances. Les clients du digital nomad, disséminés autour du monde, ne connaissent ni les heures de bureau, ni les samedi, dimanche et jours fériés. Être digital nomade, c’est penser à son travail où que l’on soit, tout le temps, parce que l’on est toujours notifié des messages, commandes, révisions, etc. Prendre des vacances n’a rien à voir avec travailler en vacances toute l’année. Il y a une opposition nette entre travail et vacances, un sens contraire qui n’est en aucune façon résolu par le digital nomadisme. Dans ce cas, qu’est-ce qui motive un freelancer, un chef d’entreprise, un télétravailleur, à jouer au digital nomad ? Facebook, Instagram, la vie rêvée du digital nomad Qu’est-ce qui vous motive réellement à aspirer à une vie de nomade digital ? Ne serait-ce pas ce post Facebook, cette photo postée sur Instagram pour tous vos amis et followers ? Pendant qu’eux sont à Paris, vous leur montrez que vous, vous travaillez depuis Tahiti. La belle affaire en réalité. Vous êtes seul à Tahiti, ou avec une famille dont vous ne profitez pas, mais qui vous suit dans vos pérégrinations, pendant que vos amis font la fête ensemble à Paris durant leur temps libre. Oui, mais vous, vous êtes en Polynésie, et pas eux. Le digital nomadisme est une tendance qui n’a qu’un seul sens : celui des affaires. Lorsqu’un influenceur veut montrer à sa communauté à quel point il réussit et peut faire réussir les autres, il entre dans le monde du digital nomadisme. Il part vivre au Qatar, se montre rejoindre une belle villa en concept car, tourne sa vidéo avec la piscine en arrière-plan, et rend sa location à la fin de son tournage. Ce qu’il a normalement compris ce n’est, non pas comment devenir digital nomad, mais comment devenir rentier. Pensez à vos enfants et investissez votre argent Le digital nomadisme, c’est la tendance de célibataire par excellence. Pourquoi ? Parce qu’un enfant vous rappelle ce qui est le plus important dans la vie d’un Homme : la stabilité et les relations sociales. Tout le contraire donc, de ce que vous proposent les gourous du net en mal de signe extérieur de richesse et de réussite sociale. Par conséquent, plutôt que de dépenser votre argent à vous déplacer tout autour de monde, pour poster la bonne photo sur vos réseaux sociaux, commencez à épargner pour investir. De ce côté-là, une chose est sûre, les investissements sont comme les vergers. Planter les graines aujourd’hui vous permettra de récolter les fruits demain. En attendant, travaillez depuis chez vous, épargnez, et prenez le peu de temps que vous avez à visiter vos amis ou à profiter de votre famille. Le nomade digital prouve que le bonheur est chez soi, et nulle part ailleurs. Les rêves d’ailleurs, c’est bon pour les vacances, les vraies vacances.
Les cryptos, un outil technologique au service de l’humain ? Le bitcoin est la technologie blockchain la plus connue. Cryptomonnaie de premier plan, elle nourrit toutes les espérances, autant que toutes les peurs. De plus en plus de bénévoles des ONG déclarent qu’elles peuvent être un outil de liberté au service des droits de l’Homme quand, de l’autre côté du spectre, les crypto-anarchistes évoquent les craintes d’un contrôle toujours plus grand des individus, par un nouveau totalitarisme. A un niveau plus terre-à-terre, les cryptomonnaies servent aussi les escrocs de tout acabit, qui misent sur la crédulité et le manque de connaissances des investisseurs. Le bitcoin au service des droits de l’Homme Technologie du futur déjà bien ancrée dans le présent, le bitcoin est une monnaie numérique dont le projet est de garantir la disponibilité des actifs tout en offrant l’anonymat à ses utilisateurs. Tout le contraire de ce que propose le système bancaire actuel. D’autant plus que le projet des gouvernements est de supprimer l’argent liquide au profit de la seule monnaie fiduciaire. Une digitalisation de nos achats qui en dit long sur le pouvoir de contrôle des institutions sur chacun d’entre nous. A ce moment-là, le bitcoin, qui est déjà l’un des seuls outils au service des opposants politiques qui agissent à Hong-Kong ou ailleurs, sera la planche de salut de tous ceux qui voudront disposer librement de leur argent. La blockchain dans la roue de l’aide humanitaire Bitcoin n’est pas la seule monnaie de la blockchain à fournir les moyens de changer le monde. En 2018, grâce aux mineurs et au projet de levée de fonds Game Chaingers de l’Unicef, l’Ethéréum faisait son entrée sur la scène des droits de l’Homme. Aujourd’hui, l’Unicef invite tous les propriétaires d’un ordinateur à miner de la cryptomonnaie pour lui en faire don sur son portefeuille électronique. Une révolution du don qui en dit long sur le rôle que vont jouer les cryptomonnaies et la blockchain dans la défense des droits de l’Homme. Anonymat mais transparence des échanges Grâce à la technologie de la blockchain, l’ensemble des transactions financières peut être suivi, tout en garantissant l’anonymat au donateur. Ainsi, les donateurs pourront savoir exactement quelle utilisation a été faite de leur don. Les monnaies numériques garantissent ainsi le retour à une confiance envers les ONG qui a eu tendance à s’étioler au fil des années. Comme l’utilisation par la Croix-Rouge, après le tsunami de décembre 2004 en Thaïlande, de 5 millions d’euros sur une obscure ligne de compte, appelée “Frais de siège”. Des pratiques pour le moins critiquables qui, avec le développement des dons en cryptomonnaies, cesseront grâce au contrôle des donateurs eux-mêmes. Ainsi, la technologie de la blockchain efficace, au service de l’action des ONG. Cryptomonnaies et totalitarisme La blockchain ne serait pas tant le fleuron d’une nouvelle forme de liberté, qu’un nouvel outil de contrôle au service des régimes totalitaires. Trois adjectifs caractérisent les transactions financières enregistrées via la blockchain : Permanent, Public, Vérifiable. Pour protéger l’identité des citoyens, et ainsi lutter contre les 200 000 usurpations d’identité annuelles en France, l’utilisation de la blockchain pour protéger l’identité est sur toutes les lèvres. Toutefois, l’identification de chaque internaute ouvre la voie à l’identification des parties, à toutes les transactions réalisées via la blockchain. Cela, de manière permanente, publique, et vérifiable par tout un chacun. Une atteinte à la liberté qui servira, on ne peut mieux, les tendances au contrôle des gouvernements, tant démocratiques que manifestement totalitaires. Les cryptomonnaies au défi de la réglementation Ce qui, jusqu’à aujourd’hui, fait le jeu des cryptomonnaies, repose sur la relative absence de réglementations nationales et internationales. Cet encadrement, qui commence à se matérialiser au travers des réformes fiscales, visant à mieux encadrer les plus-values réalisées par les gains liés à la vente de cryptomonnaie, va aller croissant. Les monnaies réellement anonymes ne sont plus très nombreuses. Ainsi, le bitcoin qui est la plus célèbre des cryptomonnaies, ne l’est pas. Pour la bonne et simple raison que pour accéder aux bourses, chaque monnaie doit respecter les réglementations KYC (Know Your Consumer) et AML (Anti-Money Laundering). C’est d’ailleurs grâce à ces obligations réglementaires que le fondateur de The Silk Road, site e-commerce de produits et services illégaux, a été arrêté par le FBI grâce aux transactions qu’il avait effectuées en Bitcoins. Ainsi, les seules cryptomonnaies encore réellement anonymes, sont les monnaies privées comme : Monero (XMR), Komodo (KMD), Zcash (ZEX). Si les gouvernements s’en mêlent, celles-ci ne résisteront pas longtemps au renforcement d’un cadre réglementaire qui les rendra rapidement obsolètes car inutilisables. Cryptomonnaies et escroqueries Comme tous les effets de mode, les cryptomonnaies entrent de plain-pied dans le schéma des escroqueries en tout genre : Pyramide de Ponzi, Rug Pull, Abus de confiance, etc. Les limites ne sont fixées que par l’imagination des escrocs. Qu’est-ce qu’une pyramide de Ponzi ? Une pyramide de Ponzi est un système simple : vous faites entrer des membres et leur argent dans un système qui leur promet un retour sur investissement confortable, et souvent trop beau pour être vrai. Amadoué par un discours souvent basé sur les résultats exceptionnels du cours du bitcoin, l’argent des nouveaux membres sert au versement des intérêts des anciens membres. L’escroquerie fonctionne jusqu’à ce que son auteur ne parte avec la caisse. Toute son histoire de bitcoin, de blockchain, de crytpomonnaies, n’aura servi qu’à attirer de nouvelles victimes prêtes à y investir leur argent. Qu’est-ce que le Rug Pull ? C’est la technique qu’a utilisé le gouvernement ukrainien pour se faire verser des fonds par de généreux donateurs, au début de l’invasion Russe. Le Rug Pull consiste à faire un appel de fonds, avec la promesse de délivrer des crypto tokens ou des NFT par airdrop sur le wallet de chaque donateur. Sauf que, au final, l’organisateur de cette collecte de fonds part avec l’argent sans ne rien verser en retour. C’est ce qu’a fait le gouvernement ukrainien, arguant que des donateurs n’avaient pas joué le jeu, versant des dons minimes pour bénéficier du cadeau promis par le gouvernement ukrainien. L’abus de confiance Vous connaissez tous les influenceurs de Youtube, d’Instagram, de Facebook, qui créent des comptes pour monter un business de conseil en investissement, de coaching ou de toute autre chose. Avec le bitcoin et la technologie de la blockchain, c’est la même histoire. Un charmant créateur de contenu vous propose que vous lui confiez votre argent pour qu’il l’investisse à votre place, sous prétexte qu’il le fera mieux que vous. Une fois qu’il a réuni suffisamment de fonds, qu’il a pris soin d’investir sur son portefeuille plutôt que sur les marchés de cryptomonnaies, il part avec la caisse. Conclusion Le bitcoin, l’Ethereum et toutes les cryptomonnaies ont le potentiel d’être des instruments de libération. Des outils mis au service de l’humanité pour contourner les contrôles mis en place par les gouvernements. Toutefois, les principes sur lesquels elles se fondent peuvent offrir à des organisations gouvernementales, au travers de régulations bien pensées, des moyens de contrôle encore plus grands que ceux qu’ils ont déjà en leur possession. En ce moment, les dangers des cryptomonnaies sont ressentis par les nombreuses victimes d’escrocs, qui ont confié leur argent à des gens qu’elles ne connaissaient pas, car elles ne comprennent ni le fonctionnement des blockchains, ni les conditions d’investissement sur les marchés des cryptomonnaies.
Investir sur soi, s’offrir les services d’un coach Qui n’a jamais rêvé de changer de vie ? De trouver un meilleur travail, qui nous plaise et nous donne plus de temps sans pour autant perdre d’argent. De développer de nouvelles compétences, avec l’énergie que donne le développement de nouvelles perspectives. Tout cela est possible, à une seule condition : investir sur soi. N’est-ce pas là l’investissement le plus intelligent ? Développer ses compétences pour déposer sa démission au patron avant de gagner au loto. Pour cela, investir dans un coach est une des meilleures solutions. Trouver le meilleur moyen d’investir sur soi Il existe de nombreuses façons d’investir sur soi. On peut demander les services : D’un ami, D’un médecin, D’un thérapeute, D’un consultant, Etc. Le meilleur moyen réside dans le service spécialisé d’un coach. Vous avez sûrement entendu parler des coachs de vie, ces experts qui vous permettent de savoir comment progresser. S’accomplir nécessite d’acquérir de nouvelles habitudes, de développer de nouveaux raisonnements, et ainsi de grandir intérieurement. Autant de choses qui ne sont pas possibles sans investir sur soi. Cette progression demande quelques mois de travail assidu. La difficulté repose non seulement sur le fait qu’il faut rester motivé, mais aussi sur le fait qu’il faut trouver l’outil qui nous convient le mieux. Pourquoi être assisté par un coach ? Un coach est le meilleur moyen de nous guider sur le chemin de la positivité. On ne va pas se le cacher, vouloir changer de métier est souvent le signe d’un profond sentiment de pessimisme. On ne peut pas investir sur soi en restant attaché à ce sentiment. On a un métier prenant, qui ne nous plaît pas, et qui laisse peu de temps pour soi. Parfois, ce sont les obligations familiales qui nous pèsent, et le travail sur notre esprit devient alors obligatoire pour conserver un semblant de vie équilibrée. Bien souvent, cette remise en question, cette réorganisation, on ne peut la réussir seul. Investir dans un coach devient la seule solution pour réussir à voir les choses d’une manière différente, et à trouver des solutions à des problèmes qui nous semblent insolubles. Comment trouver un coach ? Les coachs de qualité sont peu nombreux, alors que nos attentes envers eux sont grandes. Il ne faut donc pas investir sur n’importe lequel d’entre eux. On veut qu’ils possèdent une expertise dans le domaine du coaching ; qu’ils disposent d’une énergie communicative. Un coach compétent est un coach qui nous aide à trouver les ressources qui se cachent en nous-mêmes. Un coach sait nous mettre en action, en suivant une stratégie capable de nous mener à notre propre transformation. Surtout, un coach ne doit pas exercer son métier comme une simple activité, une entreprise qu’il faudrait qu’il fasse tourner avec notre argent. Au contraire, il doit être capable d’établir une relation qui va au-delà de la simple clientèle. C’est cela, investir dans un coach. Trouver un coach en ligne est facile. Vous pouvez vous rendre sur des sites comme Fiverr, ou sur les pages jaunes pour trouver un coach près de chez vous. Vous pouvez également trouver un, ou une coach de vie, au travers de livres de développement personnel que vous lisez. Il est fréquent que leur auteur soit aussi un coach de vie. Un coach a-t-il les clefs de la réussite ? Un coach de vie n’a pas la clef de la réussite. Par contre, il a la capacité de vous faire comprendre que la réussite est en vous, et que cette clef, vous la possédez déjà. Un coach de vie a pour fonction de vous faire comprendre que vous avez les capacités de réussir. Le plan qu’il va dresser pour vous montrer le chemin de la réussite va vous correspondre. Son but est de vous inviter à travailler sur votre corps et sur votre esprit, pour faire le plein d’énergie. Chaque séance doit être ressentie comme un bienfait, un atout dans votre quête. L’intérêt de chaque séance repose sur une discussion constructive, qui va permettre d’évaluer l’outil qu’il a mis à votre disposition, et qui doit vous avoir permis d’atteindre le résultat escompté. Existe-t-il une alternative au coaching ? Oui, pour investir sur soi et réussir, il n’y a pas que le coaching personnel qui fonctionne. Vous pouvez très bien vous en remettre aux livres, ou aux formations spécialisées, trouver une école. Il existe de nombreuses formations, pour tous les domaines qui peuvent vous intéresser. Avec l’accès aux informations et aux ouvrages que permet internet, vous pouvez très bien vous former de manière autodidacte, et investir sur vous dès aujourd’hui. La seule limite pour investir sur soi de cette manière-là, est votre capacité à vous organiser, à trouver un groupe de discussion, à rester motivé sur la durée. Cela, par contre, reste le travail le plus compliqué. Se connaître avant d’investir sur soi Pour investir sur soi et changer de vie, l’apprentissage de nouvelles compétences ne fera pas l’affaire en elle-même. Une formation n’est qu’un moyen pour parvenir à votre objectif. Ce qu’il vous faut, c’est commencer par mieux vous connaître. Vous devez comprendre que vous êtes le véhicule de cet apprentissage, qui vise à vous changer vous. C’est vous, le moteur de votre changement. Pour cela, vous devez comprendre vos émotions et mener une réflexion qui relève de l’introspection. Certaines personnes, et certains coach, vont vous demander de pratiquer la gratitude, pour permettre un meilleur changement, et un meilleur ancrage de vos habitudes, afin de mieux réorganiser votre vie. Ces pratiques, que sont l’introspection et la gratitude, vous ouvriront la voie d’un épanouissement personnel qui est la clef de votre réussite. Elle est en vous, il vous suffit de la saisir pour ouvrir la porte de vos rêves. Quelles habitudes changer ? On vous parle de changer vos habitudes, mais lesquelles ? D’une part, il va falloir abandonner toutes celles qui vous empêchent de progresser, et vous rendent malheureux, pour adopter celles qui vous feront grandir : Abandonner vos achats compulsifs, Vendre votre collection de choses inutiles, Vous initier à la méditation, Commencer le Yoga, Vous fixer un plan d’apprentissage précis, Repenser votre budget pour épargner et investir, Etc. Changer de vie par un investissement sur soi ne se fait pas du jour au lendemain. Cela demande une nouvelle organisation du quotidien, et une nouvelle façon de voir le monde. Développer de nouvelles compétences est indispensable à cette réussite. Alors, si apprendre à mieux gérer votre argent, à maîtriser vos émotions, à abandonner vos habitudes pernicieuses, vous semble être un très gros morceau, commencer par trouver un bon coach peut être le meilleur investissement de votre vie. Ensuite seulement, vous pourrez investir sur vous en souscrivant à des formations qui vous permettront de changer de carrière, et donc de vie.
Web3 : les 3 outils de la souveraineté financière Le Web3 est le premier outil à rendre possible la souveraineté financière. Nous ne parlons pas uniquement de la souveraineté financière individuelle, au sens d’une vie basée sur la rente et les dividendes. Nous parlons d’une souveraineté financière non seulement individuelle, mais aussi collective, rendue possible par 3 outils du Web3 : La blockchain Les cryptomonnaies, La DAO. La connaissance de ces technologies est la seule solution pour atteindre la « souveraineté financière ». Nous allons voir pourquoi, sans le Web3, la souveraineté financière n’est qu’un mythe. La blockchain garantit notre souveraineté financière Si vous demandez à quelqu’un de vous donner un synonyme du mot « souveraineté », il y a 9 chances sur 10 qu’il choisisse le mot « indépendance ». Ils ont raison, car «souveraineté financière » et « indépendance financière » vont de pair. Justement, jusqu’en février 2022, les oligarques russes peu versés dans le Web3 pensaient qu’ils étaient libres financièrement. Résultat des courses, les Etats occidentaux ont saisi, en dehors de toute légalité, l’ensemble de leurs biens. Moralité : la souveraineté financière se distingue de l’indépendance financière. Si les milliardaires avaient détenu leurs biens sur la blockchain, ils posséderaient toujours leur argent, et donc leur souveraineté financière. D’ailleurs, si l’année dernière, le FBI est parvenu à saisir 3.36 milliards de dollars en cryptomonnaies, c’est uniquement parce qu’ils ont perquisitionné la maison de leur propriétaire, et trouvé la clef privée du portefeuille qui les contenait. Autrement, la technologie de la blockchain les protégeait de toute atteinte. Sans cette clef privée, aucune saisie n’est possible. Par conséquent, si vous voulez investir dès aujourd’hui dans votre souveraineté financière, autant prendre les bonnes décisions dès le début, en choisissant le bon instrument : la blockchain. Les cryptomonnaies ne sont pas une bulle financière Ce qui caractérise une bulle financière, c’est la volatilité des actifs qui la composent. Les cryptomonnaies sont particulièrement volatiles. Les gains peuvent être immenses, mais les pertes aussi. Dès lors, faut-il considérer que les cryptomonnaies ne sont que des outils de spéculation amenés à disparaître ? Non, et il y a une raison à cela : de nombreuses cryptomonnaies sont adossées au Web3, telles que : Filecoin, Helium, The Graph, Livepeer. Par conséquent, leur valeur s’adosse à un élément tangible, indispensable aux programmeurs pour créer des applications décentralisées : les DAO. Certes, la valeur des cryptomonnaies peut fluctuer, mais pour nombre d’entre elles, celles-ci ne sont en aucun cas ce que les économistes anglo-saxons appellent des « castles in the air ». C’est-à-dire des montages financiers, ou des sociétés cotées, dont la valeur n’est que le total du nombre de paris aveugles réalisés par des investisseurs malavisés. Les cryptomonnaies ne sont pas une bulle financière Ce qui caractérise une bulle financière, c’est la volatilité des actifs qui la composent. Les cryptomonnaies sont particulièrement volatiles. Les gains peuvent être immenses, mais les pertes aussi. Dès lors, faut-il considérer que les cryptomonnaies ne sont que des outils de spéculation amenés à disparaître ? Non, et il y a une raison à cela : de nombreuses cryptomonnaies sont adossées au Web3, telles que : Filecoin, Helium, The Graph, Livepeer. Par conséquent, leur valeur s’adosse à un élément tangible, indispensable aux programmeurs pour créer des applications décentralisées : les DAO. Certes, la valeur des cryptomonnaies peut fluctuer, mais pour nombre d’entre elles, celles-ci ne sont en aucun cas ce que les économistes anglo-saxons appellent des « castles in the air ». C’est-à-dire des montages financiers, ou des sociétés cotées, dont la valeur n’est que le total du nombre de paris aveugles réalisés par des investisseurs malavisés. Qu’est-ce que la DAO ? La DAO (organisation autonome décentralisée) est un logiciel informatique qui offre un cadre permettant le recours à des contrats intelligents sur la blockchain. Ces contrats permettent notamment : De gérer une trésorerie, De développer des protocoles, De se passer d’un chargé d’investissement. Lorsqu’une DAO est mise en place, elle montre rapidement tout le potentiel du Web3, comme instrument de réappropriation du pouvoir par la société. Pourquoi la DAO permet-elle la souveraineté financière de demain ? En 1948, Antoine de Saint-Exupéry a, sans le savoir, défini ce qu’est l’esprit d’une DAO : “La pierre n’a point d’espoir d’être autre chose qu’une pierre. Mais, de collaborer, elle s’assemble et devient temple.” Cette phrase résume parfaitement l'événement qui a mis la DAO sur le devant de la scène. En novembre 2021, un groupe d’internautes décide, via le SubReddit r/wallstreetbets, d’acheter un exemplaire original de la Constitution des Etats-Unis. Cette enchère, organisée par Sotheby’s, va voir la première DAO de 17 437 personnes tentées d’acheter un bien, pour un montant de 40 millions d’ETH. Si la DAO s’est fait battre sur le fil par un hedge fund, il n’en demeure pas moins qu’il a permis à des dizaines de milliers d’anonymes de faire entendre leur voix. Plus rapide qu’une levée de fonds organisée par une entreprise privée, plus agile et plus démocratique, la DAO a été ce support par lequel de simples « pierres » se sont rassemblées, pour former un « temple ». Ce qui a été possible hier, dans le monde de l’art, le sera demain dans des forums aussi importants que celui de Davos, dans lequel le citoyen seul n’a aucune voix.